« Des caravelles et des batailles ». Six personnages en quête de sens. L’humour du carnage ***
Benoît Piret et Elena Doratiotto nous convient à un voyage à l’intérieur de nous-mêmes à travers de grandes références, de la "Montagne Magique" de Thomas Mann à Michel Foucault, de Musil et son "Homme sans qualités" au massacre des Incas. Au
« Final Cut » de et par Myriam Saduis. Un solo (accompagné) au bord du gouffre. Un grand moment de théâtre. ****
La confidence émouvante et distanciée de Myriam Saduis s’inscrit dans un paysage à trois "mouvements d’identité". Isabelle Pousseur, directrice du Théâtre Océan Nord offre une libre parole à une métisse franco-tunisienne et deux Africaines qui s’interrogent sur leurs contradictions. Final
Tous singuliers. C’est l’emblème des Doms en Avignon-OFF 2019. Alain Cofino Gomez s’explique.
Depuis qu’Alain Cofino Gomez est à la tête des Doms (le théâtre financé par la FWB comme vitrine de la production francophone en Avignon), les programmations surprises se succèdent. Celle de 2019 est centrée sur la singularité d’expériences-limites, parfois vécues (l’opération
« On est sauvage comme on peut ». L’amour, la mort, à pleines dents***
Le spectacle "On est sauvage comme on peut" fait partie de la programmation du OFF du Festival d'Avignon, au théâtre des Doms, du 5 au 27 juillet. La critique de Christian Jade. " On est sauvage comme on peut " : l’amour cannibale *** On
« On est sauvage comme on peut ». L’amour, la mort, à pleines dents***
Le spectacle "On est sauvage comme on peut" fait partie de la programmation du OFF du Festival d'Avignon, au théâtre des Doms, du 5 au 27 juillet. La critique de Christian Jade. " On est sauvage comme on peut " : l’amour cannibale *** On
« Architecture » de Pascal Rambert à Avignon : Words, words, words… Alas!
Pascal Rambert est un immense écrivain de théâtre, omniprésent en France et dans le monde (surtout en Asie et dans les Balkans) et étrangement peu joué en Belgique. Sauf ce duo intense sur les déchirures amoureuses, "Clôture de l’amour", qu’on
François Schuiten « Le dernier Pharaon ». La BD comme théâtre de l’imaginaire.
François Schuiten rend hommage à Edgar P.Jacobs dans une nouvelle aventure de Blake et Mortimer , "Le Dernier pharaon", qui prolonge "Le mystère de la Grande Pyramide" et introduit le Palais de Justice de Bruxelles comme deuxième cellule de rêve,