FALSTAFF de Verdi à La Monnaie: rire décalé, rythme et poésie. Le duo Pelly/Altinoglu fonce, nuance et gagne.
Ce n’est pas l’œuvre la plus fréquemment jouée de Verdi, faute sans doute de « grands airs » qui emportent le public au paradis. Mais c’est la dernière d’un génie de 80 ans qui a bâti son succès sur des dizaines de
« MADAME BUTTERFLY » DE PUCCINI. Andrea Breth à la mise en scène et Ermonela Jaho en Cio-Cio-San jouent sur une intense sobriété.
C’est un classique des classiques, beau, stylisé, respectueux de l’art japonais que nous propose Andrea Breth à la surprise générale de ceux qui la connaissent décapante et révolutionnaire des formes. À la Monnaie de Bruxelles, en mai dernier, son interprétation
