‘Je me tiens devant toi, nue’, cruels fantasmes féminins.
Un(e) grand(e) romancier(e) peut être aussi doué(e) pour le théâtre. C’est le cas de l’Américaine Joyce Carol Oates, dont Christine Delmotte entrouvre l’univers torturé de «Je me tiens devant toi, nue.» Critique:*** Une professeure amoureuse d’un adolescent raconte cette double séduction trouble