‘Les murs murmurent ‘. Une lettre d’amour/haine à un père absent. Babetida Sadjo y déploie une énergie rageuse***
C’est autobiographique cet hymne haletant au père idéal, donc décevant ? Oui mais ‘romancé’, imaginaire, fantasmé, dit Babetidja Sadjo. Et nourri d’une écoute de toutes ses copines, blanches, noires ou jaunes dont beaucoup ont, comme elle, des problèmes de père.
Les dactylos et le Tigre » au Boson : les couples carnassiers.
Critique : La recette de Bruno Emsens, fondateur et metteur en scène de ce petit lieu charmant, le Boson (40 spectateurs), fondé il a 3 ans, est simple : mettre ensemble un homme et une femme appartenant à des "familles d’acteurs"
« Trois ruptures », Rémi Devos : trois mini-films de haine corsée. Et hilarante***
Ils sont si mignons, tous deux, assis à table autour d’un délicieux repas qui comble d’aise le conjoint. Seulement voilà c’est le "dernier repas", la "Cène" finale suant la trahison, l’adieu au couple, la rupture. A petits coups de couteau