Le Spa nouveau est Royal. 2 créations délicieuses. Une bonne odeur d’empathie envahit le plateau. ***
La première soirée d’une nouvelle direction (ici Axel de Bossere, ancien directeur artistique de la Cie Arsenic, succédant à Cécile Van Snick) sonne un peu comme le " la " de l’ensemble. La présence du " nouveau cirque " tchèque des Frères Forman (pas
Avignon Off 2018. L’heure des bilans. Doms, EpiScène, Manufacture.
Les lieux belges (ou " proches ") du Festival d’Avignon publient leur bilan après une longue série du 6 au 24, voire au 29 juillet. Voici leurs conclusions en commençant par les Doms, vitrine officielle subventionnée de la FWB depuis 2002. Depuis
Avignon 2018. « La Manufacture » : plus internationale que belge
Pascal Keiser, ingénieur de formation et spécialiste reconnu dans les projets entre culture et numérique a joué un rôle important à Mons dans ce cadre de "TechnocIté " et de Mons 2015. Mais depuis 2001, sous diverses formes managériales il dirige aussi dans le Off
« Les choses qui passent » : un Requiem hollandais (Couperus/Ivo Van Hove). Secrets de famille et désirs frustrés. Bouleversant. Essentiel. ****
Ivo Van Hove, multirécidiviste de la scène avignonnaise (et internationale) avait frappé fort en 2016,en installant une adaptation des "Damnés" de Visconti en pleine Cour d’Honneur. Quoi ! du cinéma dans le temple de Jean Vilar ! Ciel ! des acteurs de la
Avignon 2018 /Danse. « Story water » en Cour d’Honneur. Un beau risque…inachevé. ***
Il y a eu hier soir une belle prise de risque en Cour d’Honneur avec "Story Water", mettant la musique contemporaine (Pierre Boulez, le mathématicien et Rebecca Saunders, la révoltée) au centre d’une heure austère et passionnante. L’Ensemble Modern, une
Avignon 2018/ Danse. Sasha Waltz (« Kreatur ») et François Chaignaud (« Romances inciertos »). Un grand enfer, un petit paradis, deux grands bonheurs.
Difficile de comparer la troupe de la grande dame percutante, Sasha Waltz (et ses moyens immenses) et le soliste François Chaignaud plongé dans l’Espagne profonde, archaïque et moderne. A part que, chacun(e) dans leur genre, ils/elles ont un " monde " et
« West Side Story » « revu » par Ivo Van Hove et Anne-Tersa De Keersmaecker. Une demi-surprise.
Ivo Van Hove est l’auteur à Avignon d’une splendide méditation sur la "prison familiale" et le désir bridé "Les choses qui passent", de Louis Couperus, où la musique joue un rôle essentiel. Nous y reviendrons. Lors d’une conférence de presse
Avignon 2018. Olivier Py l’agitateur. Une exploration du « genre », un des fils rouges du festival. Entre document et art.
Le directeur du Festival d’Avignon, Olivier Py est un homme de convictions et il les défend publiquement. Il "s’engage" quand ses lignes rouges sont franchies : désuet, l’engagement ? Respectable pour moi. Il a osé dire en 2014 que si la mairie d’Avignon
Aix-en-Provence 2018. » La Flûte enchantée » (Mozart) et » Didon et Enée » de Purcell. Des plaisirs à géométrie variable.
L’enchantement vient évidemment de la " Flûte " de Simon McBurney, reprenant un succès de 2014. Et la déception de " Didon et Enée " confiée à un disciple de Patrice Chereau, Vincent Hughet. " La Flûte enchantée ", version McBurney : humour british sur conte de fées
Festival d’Aix-en-Provence. » Seven Stones » d’Ondrej Adamek, la deuxième bonne surprise 2018***
Pour sa dernière année à la tête du Festival d’Aix-en-Provence, Bernard Foccroulle a misé, entre autres, sur une création contemporaine longtemps retardée, pour des raisons budgétaires : " Seven stones " du jeune compositeur tchèque Ondrej Adamek sur un livret de l’Islandais Sjön,