Avignon 2016. FC Bergman et Aurélien Bory interrogent l’espace, l’espèce, l’art, la cité. 2 spectacles intelligents et fascinants.
L’un, "Het Land Not", du groupe anversois FC Bergman, part d’un tableau encombrant de Rubens pour explorer l’espace et le monde. L’autre, Espa(e)ce d’Aurélien Bory, utilise l’œuvre de Georges Pérec pour multiplier les expériences sur l’espace théâtre et insinuer, en
Festival d’Avignon 2016. » KARAMAZOV « , d’après Dostoïevski. Un feuilleton mystico-populaire, signé Jean Bellorini, dans la Carrière de Boulbon.
Soit Karamazov, d’après les frères du même nom. Une famille charriant le meilleur comme le pire, un père ignoble, haï de presque tous ses fils et qui finira assassiné par l’un deux. L’acteur qui le joue bouffonne à fond, presque
Avignon 2016 : Interview Julien Gosselin, le plus Belge des Français. Programmé partout dans le monde…sauf en Belgique.
Un des must d’Avignon 2016, c’est "2666 " roman fleuve, roman/monde de Roberto Bolano, mis en scène par un jeune homme du Nord/Pas de Calais, Julien Gosselin. Il avait déjà fait le buzz à Avignon 2013 avec une adaptation des "
Festival d’Avignon 2016. « 2666 » de Roberto Bolano .Un torrent de mots, d’images, de sons pour vivre la douleur du monde. Impressionnant.
Et de trois. Avignon 2016 commence fort. Après la cérémonie rituelle des " Damnés " d’Ivo Van Hove, puis le monde étrange d’Anne Cécile Vandalem dans Tristesses, Julien Gosselin, confirme tout le bien qu’on pensait de lui après sa remarquable
Avignon 2016. Les Doms. Patrick Corillon. Les vies en soi.
Parmi les quatre spectacles présentés à Avignon un seul a été vu cet automne à Bruxelles. En voici la critique. Patrick Corillon, le multiple : plasticien, écrivain, dramaturge. *** Patrick Corillon, un Français installé à Liège, est directeur, avec Dominique Roodthooft, d’une petite
AVIGNON 2016. « Les damnés » de Visconti, revus par Ivo Van Hove, sublime et glacial rituel de mort en Cour d’Honneur.
Les débuts du III è Reich scannés à travers la décadence d’une riche famille industrielle allemande, partiellement inspirée par la famille Krupp, c’était le thème des " Damnés ", film culte de Visconti, à la fin des années 60. Cinquante
Reprise : « Décris/Ravages » d’Adeline Rosenstein – Orient/Occident, le carrousel des mauvaises fois ****
Le théâtre "documentaire" d’Adeline Rosenstein nous a déjà séduit à sa création en 2014 au Théâtre Océan Nord par sa force et son impertinente justesse. (critique publiée lors de la présentation du spectacle à l'été 2016 au Théâtre des Doms
Reprise : « Décris/Ravages » d’Adeline Rosenstein – Orient/Occident, le carrousel des mauvaises fois ****
Le théâtre "documentaire" d’Adeline Rosenstein nous a déjà séduit à sa création en 2014 au Théâtre Océan Nord par sa force et son impertinente justesse. (critique publiée lors de la présentation du spectacle à l'été 2016 au Théâtre des Doms
Avignon 2016. Les Doms « Habiter une petite maison sans grâce, aimer le boudin » (J.M. Piemme) : fierté ouvrière et humour
D’un récit autobiographique de J. M. Piemme, Spoutnik, Philippe Jeusette et Virginie Thirion tirent un spectacle hyperréaliste à trois voix où la nostalgie du passé ouvrier n’a rien de passéiste. Lucidité et drôlerie. Critique : *** Tout commence par la fiction d’une
Les Belges aux Doms/Avignon/2016. Interview d’Alain Cofino Gomez, directeur.
Le Théâtre des Doms en Avignon, né dans le scepticisme en 2002 en est à son troisième directeur. Et les candidats à la gloire du OFF/DOMS Avignon sont de plus en plus nombreux. Après le "père fondateur", Philippe Grombeer, ancien