« Mahagonny », un « requiem » choral, noir de noir. La griffe d’Ivo Van Hove sur le pamphlet de Weill/Brecht.
A sa création à Leipzig en 1930, les nazis organisent une cabale pour saborder cet opéra "judéo-marxiste". Il est pour les hitlériens, l’exemple même de "l’art dégénéré" qu’ils feront disparaître dès leur arrivée au pouvoir … trois ans plus tard. Non
« Les choses qui passent » : un Requiem hollandais (Couperus/Ivo Van Hove). Secrets de famille et désirs frustrés. Bouleversant. Essentiel. ****
Ivo Van Hove, multirécidiviste de la scène avignonnaise (et internationale) avait frappé fort en 2016,en installant une adaptation des "Damnés" de Visconti en pleine Cour d’Honneur. Quoi ! du cinéma dans le temple de Jean Vilar ! Ciel ! des acteurs de la
Romeo Castellucci (De Singel) et Ivo Van Hove (Kaaitheater) : du gâteau des rois pour ce week-end.
La réputation de ces deux grands metteurs en scène aux univers forts, si différents, n’est plus à faire. Roméo Castellucci, découvert au KFDA de Frye Leysen, à la fin des années 1990, a développé une interrogation métaphysique et esthétique radicale,
Opéra de Paris : Ivo Van Hove et Ann Teresa De Keersmaker à l’honneur pour la saison 2017-18
Avec un budget de plus de 200 millions d’euros pour deux salles (Bastille, Garnier), dont près de la moitié financé par des subventions publiques et le reste par le mécénat et la billetterie, l’Opéra de Paris a des moyens énormes
AVIGNON 2016. « Les damnés » de Visconti, revus par Ivo Van Hove, sublime et glacial rituel de mort en Cour d’Honneur.
Les débuts du III è Reich scannés à travers la décadence d’une riche famille industrielle allemande, partiellement inspirée par la famille Krupp, c’était le thème des " Damnés ", film culte de Visconti, à la fin des années 60. Cinquante