Festival d’Aix-en-Provence .Un ‘Pinocchio’ romanesque. Un triomphe pour Philippe Boesmans et Joël Pommerat.
On lira par ailleurs notre critique du 7è opéra de Philippe Boesmans, ‘Pinocchio’. Un conte mythique, dont Joël Pommera a déjà tiré un très beau spectacle théâtral, en 2009, d’après le feuilleton de l’Italien du XIXè siècle, Collodi. C’est leur
L’Eldoradôme en Avignon OFF 2017. Un lieu ‘belge’ de plus, et festif et de qualité. Une Poche d’Ancre.
" Il était une fois deux potes", le patron du Poche, Olivier Blin et celui de l’Ancre. Jean-Michel Van den Eeyden. A toute heure du jour et de la nuit ils peuvent s’appeler et se remonter le moral. Ils aiment
Avignon 2017 : Les Doms, espace belge francophone. Emotion, radicalité, technologie les clefs d’une programmation.
Alain Cofino Gomez, qui dirige depuis 2016 ‘Les Doms’ l’espace officiel de la FWB en Avignon propose une programmation qui mêle théâtre, danse, cirque et jazz (ici Greg Houben). Avec un œil plus ‘radical’ que ses prédécesseurs et une programmation
Théâtre de Liège. Festival « Emulations »: 3 petits bonheurs à recommander.
J’ai passé une après-midi au Théâtre de Liège, à musarder paisiblement parmi la ’jeune création’ et dans des registres et des âges fort différents. Chaque fois la bonne surprise. Critique: Trois étoiles, toutes*** J’avais raté à Bruxelles la délicieuse ’Convivialité’ ***d’Arnaud Hoedt
‘Trompe-la-Mort’. Balzac à l’Opéra (de Paris). L’éclat des sons, l’harmonie des couleurs.
Le miroir de Balzac pour dépeindre notre société où triomphe le fric pour le fric. En pleine actualité, en somme. C’est l’angle choisi par Luca Francesconi pour composer un opéra contemporain subtilement mis en scène par le directeur du Toneelhuis
Hors Pistes 2017 : Pesadilla, Intrigant rêve éveillé. Des Halles au Festival d’Avignon (Les Doms) ***
Critique :*** Un homme, (Piergiorgio Milano). se paie un vol plané monumental puis s’agrippe à une chaise dans des positions invraisemblables. Comme si ce corps dépassait les réalités de la pesanteur. Acrobatique ? C’est un des aspects plaisants de cette performance
Opéra de Paris. « La Flûte enchantée », m.e.s de Robert Carsen. Une élégance consensuelle.
Le charme, et parfois la limite, des mises en scène de Robert Carsen, c’est qu’elles partent d’une idée simple qui donne une sorte d’évidence à l’ensemble. A l’école de la BD, il serait plutôt du côté de la " ligne
Opéra de Paris : » Lohengrin » de Wagner. Fragile comme un enfant perdu, dans la version de Claus Guth.
J’ai toujours eu un problème avec le cygne en général et sa représentation romantique, wagnérienne, en particulier dans " Lohengrin ". Apparemment le metteur en scène Claus Guth partage cette allergie et résout le problème avec élégance. Dans sa version,
Opéra de Paris et UGC/Opéra (16/02) « Cosi fan tutte » : A.T De Keersmaeker radicale, entre mélancolie et humour ***
Rien de plus simple, à première vue, que de mettre en scène " Cosi fan tutte " de Mozart : sur le fond, entre marivaudage et vaudeville, deux femmes hésitent à tromper leurs amoureux, partis à la guerre et qui
Opéra de Paris : Ivo Van Hove et Ann Teresa De Keersmaker à l’honneur pour la saison 2017-18
Avec un budget de plus de 200 millions d’euros pour deux salles (Bastille, Garnier), dont près de la moitié financé par des subventions publiques et le reste par le mécénat et la billetterie, l’Opéra de Paris a des moyens énormes