Alda Greoli .Opération ‘Bouger les lignes’ : suite mais pas fin.
L’opération ‘Bouger les lignes’ lancée il y a 2 ans par la Ministre de la Culture Joëlle Milquet a été poursuivie et approfondie par Alda Greoli qui lui a succédé. Sa philosophie est de consulter tous les secteurs culturels via
KFDA 2017:carnet de route 3. D’Ayelen Parolin à Thomas Bellinck. Passion et raison.
Autoctonos’ d’ Ayelen Parolin : humour, passion, intensité rythmique.(jusqu’au 27 mai) ‘Autoctonos’ (autochtones) est la dernière chorégraphie d’une Argentine de Bruxelles, Ayelen Parolin, un vrai ‘personnage’ dans le paysage culturel bruxellois et international. Formée à la danse contemporaine classique à Buenos
‘Arde brillante’ de Mariano Pensotti. La révolution russe de 1917, teintée d’humour argentin.
Que reste-t-il de la révolution russe de 1917 cent plus tard alors que son héritier direct Vladimir Poutine en a gardé les méthodes autoritaires mais pas les idéaux ? Et que les ‘utopies’ révolutionnaires ont été détruites dès le règne
KFDA 2017 : Carnet de route 2. Une semaine de vedettes et de découvertes.
Les 3 spectacles vus cette semaine ‘Empire’ de Milo Rau, ‘7’ du chorégraphe Radouan Mriziga et ‘Endgame ‘ de Beckett, dans la version cubaine de Tania Bruguera sont de belles réussites. Et ce week-end est prometteur. Avec Claude Régy mettant
Milo Rau, vedette suisse du KFDA, nommé directeur artistique d’un théâtre flamand, le NTGent.
Dès ce soir, jusqu’au 21 mai, vous pouvez voir au KFDA " Empire " de Milo Rau. Milo Rau, un des spécialistes suisses du théâtre ‘documentaire‘ est régulièrement invité en Belgique dans le cadre du KFDA. Nous avons pu voir ‘Hate
KFDA 2017 : Carnets de route. Ouverture en demi-teintes. Danse et performance.
Le KFDA est à la fois pointu et généreux, politique et pudique. La bonne idée de cette année : l’avoir centré sur le Wiels, une ex-brasserie transformée en centre d’art contemporain et située près de l’espace de performance de Rosas
Reprise des « Enfants du soleil » de Gorki. Une symphonie russe orchestrée par un grand chef : Christophe Sermet ****
Critique : ‘Les enfants du soleil’ de Gorki forment avec ‘Vania’ de Tchékhov un diptyque où l’âme russe se (dé)montre universelle. Ce portrait de groupe au bord de l’implosion, interne et externe, est écrit par Gorki juste après sa sortie de