Tous singuliers. C’est l’emblème des Doms en Avignon-OFF 2019. Alain Cofino Gomez s’explique.
Depuis qu’Alain Cofino Gomez est à la tête des Doms (le théâtre financé par la FWB comme vitrine de la production francophone en Avignon), les programmations surprises se succèdent. Celle de 2019 est centrée sur la singularité d’expériences-limites, parfois vécues (l’opération
« On est sauvage comme on peut ». L’amour, la mort, à pleines dents***
Le spectacle "On est sauvage comme on peut" fait partie de la programmation du OFF du Festival d'Avignon, au théâtre des Doms, du 5 au 27 juillet. La critique de Christian Jade. " On est sauvage comme on peut " : l’amour cannibale *** On
« On est sauvage comme on peut ». L’amour, la mort, à pleines dents***
Le spectacle "On est sauvage comme on peut" fait partie de la programmation du OFF du Festival d'Avignon, au théâtre des Doms, du 5 au 27 juillet. La critique de Christian Jade. " On est sauvage comme on peut " : l’amour cannibale *** On
« Architecture » de Pascal Rambert à Avignon : Words, words, words… Alas!
Pascal Rambert est un immense écrivain de théâtre, omniprésent en France et dans le monde (surtout en Asie et dans les Balkans) et étrangement peu joué en Belgique. Sauf ce duo intense sur les déchirures amoureuses, "Clôture de l’amour", qu’on
François Schuiten « Le dernier Pharaon ». La BD comme théâtre de l’imaginaire.
François Schuiten rend hommage à Edgar P.Jacobs dans une nouvelle aventure de Blake et Mortimer , "Le Dernier pharaon", qui prolonge "Le mystère de la Grande Pyramide" et introduit le Palais de Justice de Bruxelles comme deuxième cellule de rêve,
« Histoire du tsar Saltane » : un conte pour enfants qui émeut les adultes. ****
On ne monte pratiquement pas cet opéra de Rimsky-Korsakov en Belgique et c’est donc un immense bonheur de le découvrir dans la mise en scène de Dimitri Tcherniakov et sous la conduite d’Alain Altinoglu. Passer d’un "Tristan" sombre à cette
Les Prix de la Critique Théâtre / Danse / Cirque deviennent les Prix Maeterlinck de la Critique Scène
C’est le palmarès des nominés des "Prix de la Critique" que vous attendez. Mais un petit mot sur nous d’abord. L’an dernier la nouveauté, c’était un joli trophée, une statuette conçue et réalisée par François Schuiten et Karl Heinz Theiss.
KFDA 2019 – Carnet de route 1. Danses toutes ! (avec bonus hors Kunsten, « Stretch » d’Isabella Soupart)
Il faudra s’y faire : le théâtre est à la portion congrue au KFDA. Sauf si, après cette édition, encore redevable dans la majorité des spectacles à Christophe Slagmuylders, parti en septembre 2018 pour diriger les Wiener Festwochen, les nouveaux directeurs, Sophie
« Tristan und Isolde » de Wagner : le triomphe d’un chef, Alain Altinoglu et de l’Orchestre de la Monnaie.****
On peut être un grand chef (wagnérien, entre autres) sans être, comme Wagner le préconise dans « De la direction d’orchestre » (1869) « sûr, sévère, despote et même brutal. ». La preuve par Alain Altinoglu, certes « sûr » dans sa conduite musicale mais dont
« Oreste à Mossoul » de Milo Rau. Une passion politique contemporaine, nourrie de drame antique ***
Le carnage familial (et collectif) est-il une des lois implacables de l’Histoire ? Une fatalité en somme ? En éclairant la chute de Mossoul par celle de Troie, en mêlant le règlement de comptes familial des Atrides, vu par Eschyle, à l’actualité des