Les Prix Maeterlinck de la Critique en danger. « Nous ne sommes pas en mesure d’assurer l’édition 2024 »
Depuis plus de 70 ans (1952), sous diverses appellations, les Prix Maeterlinck de la Critique mettent en valeur les créations en arts de la scène de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Le jury composé de journalistes spécialisé·e·s et indépendant·e·s publie chaque année
Avignon 2018 /Danse. « Story water » en Cour d’Honneur. Un beau risque…inachevé. ***
Il y a eu hier soir une belle prise de risque en Cour d’Honneur avec "Story Water", mettant la musique contemporaine (Pierre Boulez, le mathématicien et Rebecca Saunders, la révoltée) au centre d’une heure austère et passionnante. L’Ensemble Modern, une
Avignon 2018/ Danse. Sasha Waltz (« Kreatur ») et François Chaignaud (« Romances inciertos »). Un grand enfer, un petit paradis, deux grands bonheurs.
Difficile de comparer la troupe de la grande dame percutante, Sasha Waltz (et ses moyens immenses) et le soliste François Chaignaud plongé dans l’Espagne profonde, archaïque et moderne. A part que, chacun(e) dans leur genre, ils/elles ont un " monde " et
» i-clit » de Mercedes Dassy: un féminisme joyeux, musclé, chorégraphié, bien dans sa peau. L’intelligence du corps***
En entrant dans la petite salle de la Balsamine j’avais entrevu un mini-teaser d’ " i-clit ", à l’érotisme affirmé et parcouru en diagonale un dossier de presse très " réfléchi " sur le féminisme, jadis et aujourd’hui. Et surtout repéré le nom de Lisbeth Gruwez,
« A taste of poison » (Mossoux/Bonté) : un venin politique dans une chorégraphie étrange et drôle ***
On vit une époque tellement révoltante, où les valeurs démocratiques minimales disparaissent dans un cynisme à visage découvert, que le théâtre et même la danse participent à la réflexion. Dans le cas de la compagnie Mossoux-Bonté, ce n’est pas la première
» Moeder » de Peeping Tom (Gabriela Carrizo et Franck Chartier) : une » folie » jouissive.
Faut-il être passionné de danse pour aimer les spectacles de Peeping Tom ? Non, mais ça aide. Faut-il aimer le théâtre post moderne et ses ambiances tordues, sans fil conducteur apparent ? Non mais ça aide. Car les trilogies de
Festival international de danse des Brigittines 2016 : le corps nu, entre grâce et désastre.
Ca commence fort dans la Chapelle des Brigittines, avec La Wagner, une provocation dans le titre qui accole du féminin au chantre du mâle dominant, divin ou pas. En scène quatre walkyries nues, avec la "double nationalité" sexuelle, dénoncent les
Festival de Marseille 2016 : Jan Goossens, nouveau directeur, dresse son bilan bruxellois, au KVS, et esquisse son avenir marseillais.
Jan Goossens vient de se voir attribuer, conjointement avec Jean-Louis Colinet, le Prix d’Honneur de la Critique Théâtre/Danse, qui leur sera remis le 3 octobre au Théâtre National, en même temps qu’à 14 autres lauréats. L’occasion pour lui de faire
KFDA 2016. Carnets de route/5. L’amour de la danse. Tradition et modernité : beaux mélanges.
Takao Kawagushi .About Kazuo Ohno. Une incroyable transmission de passions. Dans le hall du Bâtiment Dynastie, au pied du Mont des Arts, on est d’abord reçu par un danseur japonais, Takao Kawagushi, qui effectue une chorégraphie minimaliste. Il relie un vélo
KFDA 2016. Carnets de route 1. Ouverture joyeuse.
Premier constat de cette première journée de KFDA 2016, vendredi soir :le lieu choisi comme centre du Festival, la Chapelle des Brigittines est en soi magique. Mais son aménagement pratique, intérieur et extérieur a bénéficié d’un temps exceptionnel. Du coup