« La maison des morts » (Janacek). Un concentré de haine, tempéré d’humour par Warlikowski l’écorché. ***
A la brève exception d’une prostituée, voici un opéra sans femme, centré sur un groupe de prisonniers en état de haine quasi permanente. "La maison des morts" de Janacek n’a pas d’intrigue centrale mais offre un chapelet de petits récits
Romeo Castellucci (De Singel) et Ivo Van Hove (Kaaitheater) : du gâteau des rois pour ce week-end.
La réputation de ces deux grands metteurs en scène aux univers forts, si différents, n’est plus à faire. Roméo Castellucci, découvert au KFDA de Frye Leysen, à la fin des années 1990, a développé une interrogation métaphysique et esthétique radicale,