» Espejo » de José Besprosvany. Miroir, mon beau miroir, une angoisse ludique***
Au commencement était la douleur : douleur d’un jeune gamin, José Besprosvany, dansant sous le regard d’un père qui le trouvait "ridicule". Une blessure inguérissable. Puis vint la douleur de devoir se regarder chaque jour dans le miroir pour vérifier