« Tristesses » (Anne-Cécile Vandalem) : la beauté du mal****
A première vue les spectacles d’Anne-Cécile Vandalem nous décrivent une réalité familière mais étrange. Une femme éclate en sanglots face à un mari grossier lors d’un banal jeu de " trivial pursuit ". Une fillette joue… mais pourquoi diable avec
« Tristesses » (Anne-Cécile Vandalem) : la beauté du mal****
A première vue les spectacles d’Anne-Cécile Vandalem nous décrivent une réalité familière mais étrange. Une femme éclate en sanglots face à un mari grossier lors d’un banal jeu de " trivial pursuit ". Une fillette joue… mais pourquoi diable avec
Théâtre National : Fabrice Murgia, 33 ans, succède à J.L Colinet. « L’artiste au centre »: la logique Milquet exaucée
Le Conseil d’Administration du Théâtre National a tranché, hier : de cinq candidats intéressants ( Fabrice Murgia, acteur, metteur en scène, directeur de la compagnie Artara; Serge Rangoni, directeur du Théâtre de Liège; Isabelle Pousseur, metteuse en scène et directrice du
Dernières minutes: « Finir en beauté » (Mohamed El Khatib) et « Tigern ».(Gianina Carbunariu).
On a beau être blasé par 40 ans de passion pour le théâtre, il y a des semaines où on se dit : quoi, deux chefs d’œuvre coup sur coup qui passent à Bruxelles comme des étoiles filantes, 4 jours
« Un cœur de pierre » (Daniel Keene) et « Un tramway nommé désir » (Tennessee Williams) : familles, je vous hais !
Étrange de traiter ensemble un monument " baroque " et naturaliste américain des années 50, le somptueux "Tramway nommé désir" et une œuvre minimaliste actuelle, "Cœur de pierre" de l’Australien Daniel Keene. Et pourtant, même si le premier est d’une
Théâtre politique : les réfugiés au centre d’une création polémique, donc utile, au National****
Le groupe Nimis, un collectif de jeunes acteurs "indignés" a construit un spectacle, fort et drôle à la fois, sur le thème de l’accueil des réfugiés en Europe, en provenance d’Afrique principalement. Dans " Ceux que j’ai rencontrés ne m’ont
Joël Pommerat. « Ça ira(1). Fin de Louis. » Le tumulte de l’Histoire envahit le plateau.
Le Théâtre National accueille du 11 au 15 octobre "Ça ira (1) Fin de Louis" de Joël Pommerat. Un spectacle de 4H30 qui commence à 19H. Les 2 premières parties avaient été présentées en septembre 2015 dans le cadre de Mons
Joël Pommerat. « Ça ira(1). Fin de Louis. » Le tumulte de l’Histoire envahit le plateau.
Le Théâtre National accueille du 11 au 15 octobre "Ça ira (1) Fin de Louis" de Joël Pommerat. Un spectacle de 4H30 qui commence à 19H. Les 2 premières parties avaient été présentées en septembre 2015 dans le cadre de Mons