« BEL ABIME » (de YAMEN MANAI). LE CRI DE RAGE D’UN ADOLESCENT TUNISIEN. IMPRESSIONNANT. NECESSAIRE.
C’est une des spécialités de Michel Bernard : puiser dans la littérature universelle des textes percutants qu’un acteur souvent seul fait vibrer intensément en nous. On se souvient de « Si c’est un homme » de Primo Levi ou de « L’avenir dure longtemps » de
« DEFAUT D’ORIGINE ». L’HUMOUR EXISTENTIEL DE YASMINE LAASSAL SUR SES ORIGINES ARABES. EMOUVANT, NECESSAIRE. CRITIQUE***
Sur son lit d’accouchement Jeanine choisit le nom de sa fille, Yasmine, en lisant un Télé 7 jours qui met en couverture Rita Hayworth, dont une fille s’appelle Yasmine. De ce curieux hasard Yasmine gardera une fascination pour les grandes
» Un homme libre » (Malika Madi). Une fable sur les ratés de la transmission au pays d’Allah.
Malika Madi est plus connue comme romancière que comme auteur dramatique. Elle est née en Wallonie à la fin des années 60 de parents algériens, avec un père mineur de fond. Son premier roman " Nuit d’encre pour Farah " a obtenu
« L’Eté 42, rafle dans les Marolles » (R. Kalisz): un moment de théâtre-vérité, sobre, émouvant.
Le quartier des Marolles à Bruxelles est devenu une sorte de prolongement " bobo " du quartier hyper chic du Sablon. Sa " gentrification " s’est faite par étapes et le quartier " populaire" où l’on parlait le savoureux patois bruxellois, mélange de flamand et