« Daisy Tambour ». Le désir bat la chamade, les mots s’éclatent, les sons s’évadent. Et le public se marre
Critique : *** Il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie un spectacle d’Olivier Thomas et de son groupe Tomassenko : un truc à nul autre pareil, basé sur des "ni"… et qui fonctionne à plein rendement. "
» Moeder » de Peeping Tom (Gabriela Carrizo et Franck Chartier) : une » folie » jouissive.
Faut-il être passionné de danse pour aimer les spectacles de Peeping Tom ? Non, mais ça aide. Faut-il aimer le théâtre post moderne et ses ambiances tordues, sans fil conducteur apparent ? Non mais ça aide. Car les trilogies de
» Five easy pieces « . Comment faire jouer des enfants ? Milo Rau et Peter Seynaeve s’expliquent.
Le 3 octobre le jury des Prix de la Critique décernait un " prix spécial "à Milo Rau, metteur en scène suisse vivant à Cologne. "Five easy pieces", centré sur l’affaire Dutroux mettait en scène une incroyable troupe d’enfants choisis
Prix de la Critique 2015/16 : Anne-Cécile Vandalem, meilleur spectacle pour » Tristesses « . Morceaux choisis, tripes et raison.
Tout a été dit dans vos journaux sur les lauréats des Prix de la Critique 2015/16. Vous retrouverez ci-dessous le palmarès avec un diaporama de tous les lauréats et une interview vidéo d’Anne-Cécile Vandalem. Mais ce qui nous a tous frappés
Culture et politique: à Belgrade, un festival (musclé) de théâtre international (BITEF) embarque l’Europe et le monde.
Tito, c’est de la préhistoire pour les jeunes ? Pas pour le directeur artistique du Bitef, Ivan Medenica qui considère qu’il faut revenir à cette source d’inspiration pour réfléchir le présent. En 1967, date de la création du festival international
« (Not) my paradise », de Sachli Gholamalizad. Racines douloureuses. ***
Le KFDA nous a appris à rechercher un théâtre ouvert vers d’autres arts, cinéma, arts plastiques, musique. Et à intégrer un théâtre documentaire à haute valeur ajoutée : les Suisses de Rimini Protokol ou Milo Rau (Five easy pieces), les
« La grenouille avait raison » de James Thierrée. Un cauchemar souriant. Un tableau en mouvement..
Critique : *** Comme un mobile de Calder qui raconterait des histoires à dormir debout, à se faire peur ou se marrer le dernier spectacle de James Thierrée ne nous apprend rien sinon à rêver. Le mobile de Calder, l’image qui
» Cold Blood » de Jaco Van Dormael et Michèle Anne De Mey inaugure la saison du KVS, en français et néerlandais.
C’est un "beau coup " que réalise le nouveau directeur du KVS, Michael De Cock, en invitant Jaco Van Dormael, dont il coproduit le deuxième spectacle Cold Blood en français comme en néerlandais (voir l’interview de Jaco Van Dormael et de
Avignon 2016. FC Bergman et Aurélien Bory interrogent l’espace, l’espèce, l’art, la cité. 2 spectacles intelligents et fascinants.
L’un, "Het Land Not", du groupe anversois FC Bergman, part d’un tableau encombrant de Rubens pour explorer l’espace et le monde. L’autre, Espa(e)ce d’Aurélien Bory, utilise l’œuvre de Georges Pérec pour multiplier les expériences sur l’espace théâtre et insinuer, en
Avignon 2016 : Interview Julien Gosselin, le plus Belge des Français. Programmé partout dans le monde…sauf en Belgique.
Un des must d’Avignon 2016, c’est "2666 " roman fleuve, roman/monde de Roberto Bolano, mis en scène par un jeune homme du Nord/Pas de Calais, Julien Gosselin. Il avait déjà fait le buzz à Avignon 2013 avec une adaptation des "