« La vedette du quartier » (Riton Liebman):casse-gueule, la gloire.***
Riton Liebman c’est un peu comme un bouchon de champagne. Sa "Vedette de quartier" vous explose au visage (danger?), mais derrière c’est plein de jolies bulles, mousse éphémère ou promesse de bonheur ? On en sort léger, entre mélancolie d’un
Opéra de Paris: « Cavalleria rusticana » et « Sancta Susanna ». Triomphe de la sensualité, entre sacré et sacrilège.
Quelle curieuse idée d’accoler, à un opéra vériste hyper connu, "Cavalleria Rusticana " de Mascagni, une œuvre expressionniste peu jouée, " Sancta Susanna " de Hindemith. Eh bien "ça marche", tant musicalement que scéniquement. Grace à un metteur en scène
Opéra de Paris: »Iphigénie en Tauride » (Gluck): un « coup de poing » à la Warlikowski. Déchirant, actuel.
Dans le luxueux palais Garnier, maison mère de l’Opéra de Paris, un écrin du XIXe siècle, enrichi d’un plafond de Chagall, le rideau de scène, miroir sans tain, reflète la salle, ses ors, ses couleurs, ses lumières, son public. Quant
« Hyperlaxe »(Compagnie Te Koop).Eloge de la fragilité créatrice.
C’est le genre de spectacle qui vous réchauffe le cœur à la manière de l’Auvergnat de Brassens "qui sans façon m’a donné .quatre bouts de bois, quand dans ma vie il faisait froid…Et dans mon âme il brûle encore à
« Daisy Tambour ». Le désir bat la chamade, les mots s’éclatent, les sons s’évadent. Et le public se marre
Critique : *** Il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie un spectacle d’Olivier Thomas et de son groupe Tomassenko : un truc à nul autre pareil, basé sur des "ni"… et qui fonctionne à plein rendement. "