« Délestage »: Un comédien/auteur éblouissant, David-Minor Ilunga. Un humour décapant sur les clichés Belgique/RDC ****
David-Minor Ilunga a une habileté " jazzy " à enfiler des anecdotes drôles ou tragiques, une incroyable présence scénique et un sens de l’accroche dès la première phrase: " Bagnole menottes poste de police. Ça a commencé comme ça, m'dame.
» Les Particules élémentaires « (M.Houellebecq), adaptées par Julien Gosselin. Un triomphe d’Avignon 2014 enfin au National.****
Mon commentaire après la première en Avignon 2013. " Gosselin et son collectif (26 ans en moyenne) maîtrisent, sans forcer et sans tape à l’œil les techniques modernes. La vidéo et la musique " live ", l’insert de petits films clin
Le directeur des Tanneurs, David Strosberg, ‘mis à l’écart’ par son CA. Communiqué officiel et analyse.
Communiqué de Presse du Conseil d’Administration et de l’Assemblée Générale du Théâtre Les Tanneurs 4 décembre 2017 Le Théâtre Les Tanneurs est une institution soucieuse de son public et du bien-être de son personnel. Son Conseil d’Administration a pris des décisions nécessaires et difficiles,
Au Théâtre National « J’abandonne une partie de moi que j’adapte », de Justine Lequette
Un premier spectacle de théâtre-vérité intelligent, pertinent et ludique. CRITIQUE *** Raoul Collectif, Nimis Groupe, Darpa Collectif, … et aujourd’hui le Group Nabla, c’est toute une génération de jeunes compagnies, issues principalement du Conservatoire de Liège, qui débarque sur nos scènes. Leurs
Trois jeunes projets théâtraux, trois réussites !
Trois jeunes projets théâtraux, trois réussites ! " Chambarde", un ovni, aux Tanneurs, " Disparition des Lucioles ", engagé, au Théâtre de la Vie, "Paradoxe du Tas ", amusant, aux Riches-Claires. Cette semaine, mon bonheur théâtral provient de 3 équipes
‘Mademoiselle Julie’ de Strindberg : une belle folie, musicale, lumineuse. Avec trois acteurs accordés dans leurs dissonances. ***
‘Mademoiselle Julie’ c’est, au départ, un drame naturaliste d’un auteur réputé misogyne, qui montre ‘l’inconduite ‘de Julie, la fille d’un comte séduisant son domestique, sous les yeux de la servante Kristine, amante du domestique. Une pièce tellement scandaleuse en cette
‘Lucio Silla’, un Mozart de 16 ans, mis en scène par Tobias Kratzer. Une très belle surprise.
Le long passage nomade de la Monnaie par la tente du Palais de la Monnaie à Tour et Taxis aura au moins eu un avantage: son directeur, Peter de Caluwe y a souvent invité de jeunes metteurs en scène intéressants,
Opéra de Paris. » Balanchine, Teshigawara, Bausch ». La force de Stravinsky et le génie de Pina Bausch : fascinant. ****
Le Ballet de l’Opéra de Paris raffole des soirées composées où il peut user du répertoire et proposer des nouveautés. Une soirée dominée par la musique, de Stravinsky à Pekka Salonen, et le répertoire, de Balanchine à Pina Bausch. Qui a
Bryn Terfel en ‘Falstaff’ (Verdi): puissance et nuances vocales, élégance de l’acteur. Une délicieuse comédie sociale. ***
L’Opéra de Paris, comme tous les opéras du monde, alterne créations et reprises. Le ‘Falstaff’ de Dominique Pitoiset (1999, déjà repris en 2013) pourrait paraître " daté " dans son inspiration ‘classique’. S’il se moque des effets de mode il
Opéra de Paris. ‘Don Carlos’ (Verdi): une version française, d’origine. Des interprètes fabuleux. Warlikowski tout en intériorité : une belle surprise ****
Le public parisien a un rapport schizophrénique au metteur en scène polonais Krzysztof Warlikowski. Quand il encombre certains opéras de digressions baroques et d’images gays, c’est la bronca. Et quand il creuse un sillon qui vise l’intériorité de l’œuvre il