« MADAME BUTTERFLY » DE PUCCINI. Andrea Breth à la mise en scène et Ermonela Jaho en Cio-Cio-San jouent sur une intense sobriété.
C’est un classique des classiques, beau, stylisé, respectueux de l’art japonais que nous propose Andrea Breth à la surprise générale de ceux qui la connaissent décapante et révolutionnaire des formes. À la Monnaie de Bruxelles, en mai dernier, son interprétation
« The Turn of the screw » de Britten. Fantômes et fantasmes interrogent l’innocence des enfants. Bouleversant. ****
En 1898, le plus britannique des écrivains américains, Henry James, publiait The Turn of the screw, une nouvelle insinuant la présence de deux dangereux fantômes pervertissant deux orphelins dans un manoir perdu, sous les yeux impuissants de leur gouvernante. Ce thème « gothique »