« L’avenir dure longtemps ». Althusser, le vertige d’une folie meurtrière ****
REPRISE (un succès non-stop depuis 4 ans ,Prix de la Critique 2016, meilleur seul en scène.) Voici mon compte rendu (janvier 2016) de la performance "terrifiante" d’Angelo Bison. Passé par les Doms à Avignon, repris à Poème 2. Une œuvre qui vous
« Every Direction Is North ». Karine Pontiès joue sur l’élan et la virtuosité pour vaincre la mélancolie. ***
"Le Radeau de la Méduse" n’est jamais bien loin dans les rêves chorégraphiques de la Dame de Pique, compagnie de Karine Ponties. Entre rêve et réalité, cauchemar et catastrophe, le groupe et l’individu sont toujours pris entre conflit et solidarité avec
« Pays de Danse » 2020 : des parfums forts, portugais, africains, urbains et belges ***
Ce festival bisannuel de danse du Théâtre de Liège est une des bonnes occasions (avec la Biennale de Charleroi Danse et les deux festivals annuels aux Brigittines/Bruxelles) de rassembler des créations internationales de haut niveau et le meilleur de la
« Un Tramway nommé Désir » (Tennessee Williams). Et si on oubliait Marlon Brando ? ***
Tennessee Williams, c’est toute une époque, les années 1950/60, qui nous imprègne encore par les adaptations de son théâtre au cinéma. Des œuvres lourdes d’angoisses existentielles, plongées dans le "Deep South", amplifiées par Broadway et Hollywood. Une esthétique "Actor’s Studio",
« Les Falaises » aux Tanneurs. « Atmosphère, atmosphères, de jolies gueules d’atmosphère.. »
On se souvient de la tirade historique et irrésistible d’Arletty dans "Hôtel du Nord" de Marcel Carné. "Atmosphère, atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?". A la fin de cette petite heure et quart de théâtre pseudo policier, intitulée
« Histoire de la violence ». Comment pardonner l’impardonnable ? ****
C’est quoi une bonne pièce de théâtre ? Celle dont on sort avec plus de questions que de réponses. Or ça causait ferme au sortir de la première d’ "Histoire de la violence", une autofiction d’Edouard Louis, mise en scène par
« Ton joli rouge gorge ». Une utopie comique dans un monde transgenre.
Depuis le surprenant "J’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie", l’épatante Clinic Orgasm Society met en scène un/des couple(s), se posant des problèmes de couple/genre sur le mode du conte burlesque, à 1000 lieues du réalisme. Surtout pas
« Des caravelles et des batailles ». L’humour du carnage.Fort, drôle, raffiné. ****
Présentes brièvement au Festival de Liège en février 2019, sélectionné par le Théâtre des Doms à Avignon en juillet, les "Caravelles" sont reprises au Petit Varia de ce soir 14 janvier au 1er février. A ne pas rater ! Voici ma
« On est sauvage comme on peut », l’amour cannibale ***
Présente brièvement au Festival de Liège en février 2019, sélectionné par le Théâtre des Doms à Avignon en juillet, "On est sauvage comme on peut" est repris au Théâtre National du 21 janvier au 1er février. Voici ma critique lors
« Dieu le Père »: Roda Fawaz : une » bête de scène » ! Amour (de la Mère), religion et humour, une joyeuse cohabitation ***
Il y a 4 ans on découvrait Roda Fawaz aux Riches Claires dans "On the road… a", mis en scène par Eric De Staerke. Un savoureux stand up sur la difficulté d’être musulman en essayant de déguiser (vainement) cette identité.