« (Not) my paradise », de Sachli Gholamalizad. Racines douloureuses. ***
Le KFDA nous a appris à rechercher un théâtre ouvert vers d’autres arts, cinéma, arts plastiques, musique. Et à intégrer un théâtre documentaire à haute valeur ajoutée : les Suisses de Rimini Protokol ou Milo Rau (Five easy pieces), les
KFDA 2016 : Carnets de route 7. Un procès en trompe l’œil venu d’Iran (Reza Koohestani). Une rêverie thai.(Weerasethakul).
Hearing de Amir Reza Koohestani : Inquisition à l’iranienne ? Le KFDA c’est le paradis des auteurs qui ont un univers à nous faire traverser. Parfois il est bien difficile d’y entrer ou d’y rester. Parfois on a de la peine
KFDA 2016. Carnets de route 1. Ouverture joyeuse.
Premier constat de cette première journée de KFDA 2016, vendredi soir :le lieu choisi comme centre du Festival, la Chapelle des Brigittines est en soi magique. Mais son aménagement pratique, intérieur et extérieur a bénéficié d’un temps exceptionnel. Du coup