KFDA 2019 – Carnet de route 1. Danses toutes ! (avec bonus hors Kunsten, « Stretch » d’Isabella Soupart)
Il faudra s’y faire : le théâtre est à la portion congrue au KFDA. Sauf si, après cette édition, encore redevable dans la majorité des spectacles à Christophe Slagmuylders, parti en septembre 2018 pour diriger les Wiener Festwochen, les nouveaux directeurs, Sophie
Charleroi/Danse/LEGS. L’héritage transformé. Josef Nadj, Robyn Orlin et héritiers. Sensible, raffiné.***
J’ai retrouvé hier à la Raffinerie de Molenbeek une vieille connaissance Josef Nadj, un Hongrois d'origine serbe, découvert au "140" dans les années 90, puis comme vedette d’Avignon et qui passe rarement en francophonie. Son univers onirique raffiné est fascinant.
« Giselle », ballet romantique revu par Akram Khan. Un clair-obscur visionnaire sur le monde des migrants. ****
"Giselle", c’est la mère de tous les ballets romantiques, la belle histoire triste d’une jeune paysanne (Giselle) séduite par un aristocrate, Albrecht. Dénoncée par son amoureux le garde-chasse Hilarion elle en meurt et entre au royaume des Wilis. La vindicative
Prix de la Critique 2018/19, suite des réactions, avec humour, émotion et conviction
Il faut de tout pour faire un monde, les drôles, les sensibles, les sérieux. Pareil à la cérémonie des Prix. On a déjà vu les " incontournables " dans le volet (1) (Alda Greoli, François Schuiten, F(s), Deux Euros Cinquante, l’hommage au KFDA). Ici on place
FESTIVAL BRIGITTINES 2018. Une époque toxique ? L’art, le rythme, l’imaginaire, l’humour comme antidotes.
La ravissante Chapelle des Brigittines, dédoublée comme le spectacle fétiche de la Compagnie Mossoux-Bonté " Twin Houses ", accueille fin août un festival international de danse. Son originalité ? Il est conçu comme une extension du monde très particulier du duo Bonté/Mossoux qui
Avignon 2018 /Danse. « Story water » en Cour d’Honneur. Un beau risque…inachevé. ***
Il y a eu hier soir une belle prise de risque en Cour d’Honneur avec "Story Water", mettant la musique contemporaine (Pierre Boulez, le mathématicien et Rebecca Saunders, la révoltée) au centre d’une heure austère et passionnante. L’Ensemble Modern, une
Avignon 2018/ Danse. Sasha Waltz (« Kreatur ») et François Chaignaud (« Romances inciertos »). Un grand enfer, un petit paradis, deux grands bonheurs.
Difficile de comparer la troupe de la grande dame percutante, Sasha Waltz (et ses moyens immenses) et le soliste François Chaignaud plongé dans l’Espagne profonde, archaïque et moderne. A part que, chacun(e) dans leur genre, ils/elles ont un " monde " et
» Cold Blood » de Jaco Van Dormael et Michèle Anne De Mey inaugure la saison du KVS, en français et néerlandais.
C’est un "beau coup " que réalise le nouveau directeur du KVS, Michael De Cock, en invitant Jaco Van Dormael, dont il coproduit le deuxième spectacle Cold Blood en français comme en néerlandais (voir l’interview de Jaco Van Dormael et de
« Michèle Noiret à contrechamp » : un documentaire passionnant, en forme d’autoportrait.
Ce jeudi soir dans "Tout le Baz'Art" à 22h20 sur la Trois , le documentaire de Tanguy Cortier consacré à Michèle Noiret. Les rapports de Michèle Noiret avec le cinéma sont intenses. Depuis plus de 15 ans pas une chorégraphie d’elle
El Conde de Torrefiel. … » Après …avoir visionné un film de Michael Hanneke « . Le spleen désabusé de la génération « Podemos ».
La déferlante qui a cassé l’Espagne, après la Grèce, en 2010 a provoqué l’exil ou la révolte de nombreux jeunes Espagnols. Révolte, mélancolie, transgression et jeu subtil entre parole et chorégraphie : la compagnie barcelonaise El Conde de Torrefiel